(Sources : Données Ifen sur l’érosion du littoral français métropolitain ; S. Colas, 2006)
En 2009, le ministère de l’écologie et du développement durable,
suite aux engagements du Grenelle de la Mer, a fait ses recommandations
dans la manière de gérer le trait de côte.
en 2007, l’Institut Français de l’Environnement a publié une étude cartographique et statistique de l’érosion marine très fournie.
En 2004, la Commission européenne a demandé qu’une étude soit faite sur tout le littoral de l’Union, afin d’évaluer la menace représentée par l’érosion des côtes sur le territoire européen. De cette étude, appelée EUROSION, est ressorti une classification des régions exposées à l’érosion. Ces régions ont été classifiées selon quatre critères de sévérité.
(Source : Eurosion)
– En pied de digues, nous mettons en place des coussins, tapis ou bourrelets de confortement d’assise des enrochements.
Le développement de Géocorail va diffuser dans le sol et créer un cordon stabilisateur de l’assise d’ouvrage, évitant le départ de fines en pied de structure et augmentant la surface de contact et par conséquent le coefficient de frottement blocs + assise sableuse.
Le noyau de digue sera ainsi pérennisé en évitant le glissement des blocs de base. Ils seront pris dans la matrice de Géocorail sur lesquels ils sont assis, assurant leur ancrage et stabilité, tout en maintenant le caractère dissipateur énergétique de l’ouvrage.
– En bas de plage nous positionnons un tapis pour la formation de Géocorail qui émergera après agrégation et présentera une surface rugueuse pouvant retenir le sable entraîné par la nappe de retour après chaque déferlement de vagues.